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 élévation

élévation

Parcours initiatique Philosophico-Spirituel à travers mes rencontres et lectures liées au paranormal et à l'ésotérisme.


A la gloire de mon père

Publié par Yann-Erick sur 7 Juillet 2018, 08:15am

Catégories : #Rencontres

 Souvenirs communs en compagnie d'un ami de mon père: Brice.

 Vidéo d' 1h30
en trois parties.

 (+ Bonus audio de 24 minutes)

 Première partie - Durée 31 minutes.

 Deuxième partie - Durée 33 minutes.

 Troisième partie - Durée 33 minutes.

 BONUS AUDIO :

 Discussion (privée) entre un Père et son fils sur le sens de la vie
(tout en écossant des petits pois).

Audio de 24 minutes (juin 2007).

Ce bonus audio est longtemps resté introuvable; je me demandais même si je n'allais pas plutôt diffuser un enregistrement de ma mère jouant au piano des compositions de son père (gardées plus précautionneusement). Le fait qu'elle ne parle pas mais qu'on l'entende (l'année qui précède son grand départ) jouer au piano des oeuvres de mon grand-père maternel, pouvant même être une façon plus délicate (et universelle parce que musicale) d'expliquer le sens de la vie. Et puis, grâce au confinement de 2020 qui m'a donné plus de temps pour chercher, je l'ai donc retrouvé, et mis en image sans aucune montage audio (mon père s'exprimant toujours sans aucune hésitation. La personnification même de la citation de Boileau: "qui se conçoit bien, s'énonce clairement, et les mots pour le dire arrivent aisément"). Ce n'est qu'une fois la réalisation terminée (et satisfait du travail accompli), que je suis tombé sur quatre de ses mèls, lisibles ci-dessous (car je pense que je ne suis pas tombé dessus par hasard).

Yann-Erick

20 juin 2007, 17:17.
Par anticipation de la Saint Jean, je t’envoie quelques airs de circonstance, si on le décide ainsi, ce que j’ai fait.
Je te suggère, et ce n’est qu’une suggestion, de te prévoir une petite heure de calme pour l’écoute et ce qu’il te faudra pour exercer ta volonté à rejeter tout ce qui te préoccupe, jusqu’à ce qu’elle ne serve à rien, car n’ayant plus de raison d’être puisqu’elle n’aurait, à ce stade, qui n’est pas loin de celui du « non vouloir », aucun objet qui attire son attention.
Tu pourrais alors te préparer à rejoindre une « présence » , bien antérieure à ton moment de disponibilité et essayer d’entrer en communion avec ceux qui y étaient déjà, ailleurs et depuis longtemps ... Autre temps autre lieu.
Certains sont , paraît-il ,capables d’y être en permanence, de permanence devrais-je dire , perpétuellement disponibles, comme la mer qui ‘existe tant quand on a envie de se baigner que lorsque l’on en n’a pas envie ,et qui de toutes façons ne se baigne jamais.
Donc bonne fête.
Ke navo et
Big bisous.

27 juin 2007, 18:07.
Vixi,et quem dederat fortuna peregi; (Vir.En.) Ce ci pourrait faire une épitaphe, mais c'est aussi une réponse. Big bisous à+

28 juin 2007 12:48.
Vixi et quem dederat cursum fortuna peregi. Voila qui ferait une belle épitaphe... Big bisous à +(2° édition)
Philip

28 juin 2007 14:28.
J'ai oublié de préciser (Vir.EN.). Pour les intimes....Ke Navo

Traduction (en gros): "j'ai vécu et accompli (parcouru /mener à son terme) le chemin que m'avait donné la fortune (le destin)".

"Qu'est-ce qui te fait croire que ce que tu dis est vrai"
(Post-it écrit par mon Père)

Lettre de Monique (sa seconde épouse) :

Saint-Brieuc, le 14 mars 2019
Hello Yann-Erick,
Suite à l’écoute attentive de ton échange avec Brice, voici quelques lignes apportant un autre regard sur la personnalité de ton père. Il y tant de choses à dire, plus subtiles mais qui déboucheraient forcément sur l’intime, là où je ne veux ni ne puis aller. Nous avons tous notre part d’ombre, humaine condition oblige. « L’amplitude des contradictions à l’intérieur d’une pensée constitue un critère de grandeur » disait Nietzsche. Cette phrase lui sied à merveille, non ? Quoi qu’il en soit il était un homme de devoir ; de réflexion, d’idées aussi auxquelles on adhérait ou pas mais d’une originalité certaine.

Qui était le père, qui était l’homme. Dissociation que l’on ne fait qu’une fois, conscience prise, qu’un être est unique et multiple.
Qui a dit « définir Dieu c’est vouloir sculpter une statue dans le sable à marée montante ». Ne peut-on pas parodier cette phrase et l’appliquer à l’homme ?
Tout ce que vous avez évoqué est sincère, VRAI, vrai pour vous et pour tout être qui partagerait la même vision. Mais, peut-on être intégralement vrai, tutoyer la vérité dès lors que s’y mêlent affection, sympathie, empathie ? Toute approche de la vérité est parcellaire, notre esprit ne pouvant englober le tout, illustrée d’ailleurs tant par la photo que tu as prise de son aphorisme « Qu’est-ce qui te fait croire que ce que tu dis est vrai » que l’évocation par Brice du livre de Pirandello « A chacun sa vérité » auquel il faisait souvent allusion (plus qu’à « 6 personnages en quête d’auteur »).
Il était un être brillant, au QI élevé, cultivé, plein d’humour… redoutable, hyperconscient, d’une sensibilité intense soigneusement dissimulée derrière un « rentre dedans » frontal souvent jugé brutal. Dès lors qu’il pressentait des « potentialités non révélées » chez un être en souffrance il assénait un coup sur la coquille qui l’enfermait, dosé juste ce qu’il fallait pour ne pas blesser l’être en devenir à l’intérieur. Curieux aussi, le mot est faible ; quête du savoir, comprendre  le cosmos, les trous noirs, le monde des éons de Charon lequel l’a amené naturellement à lire Teilhard de Chardin ; creuser, trouver des réponses qui débouchaient sur d’autres questionnements « le savoir n’est dispensateur que d’inconfort ».
Son passé d’informaticien lors des débuts de cette science, puis de conseil, avait développé sa capacité d’analyse, de synthèse. Après une minutieuse analyse, très vite apparaissaient les solutions à envisager.
Quand le destin vous bascule comment mener sa barque ? Assumer. « La foudre ne tombe jamais sur les fraisiers ». « La liberté c’est pouvoir choisir ses contraintes » d’où un virage important CJO, professeur de Judo.
CJO : Cercle de Judo. O (qu’importe le O). Nous sommes tous sur le même cercle, enseignants, enseignés mais en des points différents ; disait-il à ses élèves.
Il n’enseignait pas un sport mais une éthique de vie en éduquant le corps et l’esprit. Malheureusement, l’enseignement des Arts Martiaux disparaissait au profit des Judokas… sportifs et CJO dût fermer son Dojo. Difficile et … douloureuse décision à prendre. Coupure nette.
Son rapport à Dieu était ambigu ? Certes il abhorrait toute forme d’endoctrinement mais Dieu lui apparaissait comme une « nécessité logique »… d’avant le commencement. Un jour S. Hawkins a rencontré le Pape (je suppose Jean-Paul II). S’en est suivi un dialogue que l’on peut penser intense : le religieux et le scientifique ferraillaient ; échange qui s’est clos sur ce consensus : « C’est entendu Votre Sainteté avant le big bang c’est vous, après  c’est nous ». Il aimait cette posture mais pas que, car il n’était pas athée. Il refusait l’institution église.
« Intellectuel : sûr. Manuel : certain ». Il travaillait le bois, la pierre, créait ses meubles, mille idées pour l’harmonie d’un jardin. Vraiment doué.
Cet homme était-il parfait ?
Que nenni.
En avers de la médaille ses qualités.
Au revers ses défauts tout aussi puissant.
Dur, intransigeant, intolérant quelquefois en face de « la bêtise au front de taureau » (Baudelaire).
Parler du « prix de la betterave » ne l’intéressait pas, ce qui réduisait singulièrement la fréquentation de ses semblables d’où une solitude certaine. Abscons pour certain, génial pour d’autres.
Pourquoi n’écrivez-vous pas ? Lui disait-on moult fois. J’ai besoin de l’autre, en face, du contact, sentir ses réactions, lires ses pensées au fond des yeux. Si j’écrivais, j’exigerais de mon éditeur un livre particulier, composé d’une page blanche à gauche afin que mon lecteur puisse y inscrire ses pensées, ses réponses, ses questionnements. Original ?
Il ne revenait pas sur une position prise, même si certains arguments, certaines idées auraient pu l’amener à modifier son point de vue… quitte à en souffrir.
Puis vint le temps de la maladie.
Accuser le coup du verdict.
Souffrances intenses, continuelles.
Lutter.
JAMAIS une plainte… exprimée.
A la réflexion, je crois qu’il m’a accompagnée autant que je l’ai accompagné jusqu’à ce 14 juillet 2017 où seul –quelques instants- il a effectué son passage sur l’autre rive.
Si différent oh combien.
Si unique… une fois qu’il n’est plus là le silence est assourdissant.
Comme il me manque.

Plus d'infos:

- Les deux prières qui étaient sur le faire-part du décès du père de Brice :

Lanza del Vasto:
"Ô Dieu de vérité que les hommes divers nomment de divers noms mais qui est l’Un, Unique et le Même, qui es Celui qui est, qui es en tout ce qui est et dans l’union de tous ceux qui s’unissent, qui es dans la hauteur et dans l’abîme, dans l’infini des cieux et dans l’ombre du cœur comme une infime semence, nous Te louons, Seigneur, de ce que Tu nous exauces, car cette prière est déjà exaucée puisqu’en nous adressant ensemble à Toi, nous élevons notre vouloir, nous épurons notre désir et nous nous accordons. Et qu’avons-nous à demander encore si cela est accompli ? Oui, que demander ? Sinon que cela dure, ô Eternel, le long de notre jour et de notre nuit ; sinon de T’aimer assez pour aimer tous ceux qui T’aiment et T’invoquent comme nous ; assez pour aimer ceux qui Te prient et Te pensent autrement, assez pour vouloir du bien à ceux qui nous veulent du mal, assez pour vouloir du bien à ceux qui Te renient ou T’ignorent, le bien de revenir à Toi. Donne-nous l’intelligence de ta Loi, Seigneur, le respect émerveillé et miséricordieux de tout ce qui vit, l’Amour sans revers de haine, la Force et la Joie de la Paix. Amen"

Monseigneur Joseph Rabine :
"Une des plus saisissantes images de la mort m'a toujours semblé être celle-ci :
Un bateau s'en va : il quitte notre rive. Pour nous qui sommes sur cette rive, nous voyons les passagers du bateau qui nous quittent ; cela nous rend tristes.
Mais pour ceux de l'autre rive, quelle joie... car ils les voient arriver.
Et pour ceux qui sont partis, après la tristesse des adieux, à ceux qu'ils aiment, quel bonheur de découvrir enfin ces horizons infinis... horizons plus beaux que ceux qu'ils ont laissé ici, sur notre rive.
Et voilà qu'en pensant au bonheur qui les attend nous oublions notre tristesse, notre peine, et que nous nous réjouissons de les savoir bientôt plus heureux qu'ici.
Notre rive, à nous qui pleurons, c'est la terre.
L'autre rive, où ils parviennent, c'et le ciel.
C'est ça la mort. Il n'y a pas de morts, mais des vivants sur les deux rives..."

- Quelques informations supplémentaires que Brice m'a écrites depuis cet enregistrement de juillet 2018:

14 novembre 2019, 13:47.
1) Commentaires (plus ou moins anecdotiques) sur l’interview :
Je me rends compte que j'ai parfois manqué de précision.
Là où c'est gênant, c'est dans le souvenir de ma question posée quand j'étais enfant concernant l'élève qui a appris les étranglements malgré ses problèmes psychiques (3ème vidéo):
Petit erratum : c’est ton père qui me l’a rappelée en Bretagne, disant que ce n’était pas simple de répondre à une telle question, et me reprochant gentiment d’avoir pu oublier de la lui avoir posée. Dans notre discussion j'ai inversé les choses : c'est donc bien ton père qui m'en a reparlé en Bretagne alors que je ne me rappelais pas lui avoir posé cette question, pas simple, à l'époque. Depuis, j'ai reconstruit un souvenir et la réponse de ton père, que j'ai peut-être même altérée.
Précision concernant les passagers de la voiture passant devant la maison de mes parents après le décès de mon père : je ne suis pas sûr que la femme portait un voile mais, en tout cas, elle avait le visage découvert. L’homme portait un vêtement marocain à large capuche, qui était rabattue sur sa tête je crois, et qui était clair voire blanc il me semble.
À propos de la survivance de la conscience, mon impression est que chacun de nous est une modalité d’expression ou d’existence de la conscience : comme des cellules de l’univers.
Il semble tomber sous le sens que non seulement les paroles mais aussi les actes peuvent être interprétés différemment selon l’acteur et les observateurs.
A propos de ta question sur ce qui me rend heureux : le mouvement du monde que j’évoquais, je le ressens aussi souvent comme une vibration, un souffle, une onde, qui peut être sonore. Ou une respiration comme la vie des habitants ressentie derrière la façade d’un immeuble.
En fait, ce qui me rend heureux est la beauté, notamment cette vibration du monde.
Ton père pouvait bousculer son interlocuteur, intentionnellement ou pas. Un jour il m’a dit quelque chose qui pouvait laisser penser qu’il envisageait la possibilité qu’il pouvait se tromper en agissant ainsi (« vieux con »). À mon égard, j’ai toujours ressenti de la bienveillance.
En tout cas, il était très précautionneux avec les jeunes enfants, en l’occurrence les jeunes élèves. D’ailleurs il disait que les enfants étaient merveilleux jusqu’à un âge que je ne me rappelle pas exactement, peut-être 5 ans, parce qu’ils avaient encore toute leur fraîcheur.
À un moment de la vidéo, je dis que j’étais en position du tailleur (lors d’une compétition) : en fait c’était plutôt celle du diamant.

2) Souvenirs complémentaires et citations (reformulées selon ma mémoire) de ton père :
Une anecdote qu’il m’avait racontée pour parler de l’extraordinaire adaptation dont nous sommes capables : il s’agissait d’une population, peut-être du grand nord dans mon souvenir, qui était théoriquement vouée à disparaître du fait de sa pyramide des âges, d’après les scientifiques, et qui a pu se perpétuer.
Il m’avait raconté qu’il avait croisé une fois un rabbin dans le train et qu’il lui avait demandé grosso modo comment, selon lui et sa tradition, on pouvait être sûr de faire les bons choix. Le rabbin lui a répondu grosso modo : « On agit d’abord, et on voit ce que ça donne. »
Ton père était très discret, notamment au sujet de ses élèves, et, j’ai l’impression, compartimentait sa vie. En tout cas, il ne racontait pas la vie de ses élèves à la maison d’après ce que j’ai vu.
Une parole de ton père en cours : "Faire du judo c'est faire un bout de chemin ensemble avec un partenaire, et pas chercher à casser un adversaire."
Il m'avait dit avoir remarqué que fixer un animal dans la nature faisait souvent fuire celui-ci et qu'il était alors préférable de regarder un peu à côté de l'animal pour pouvoir le regarder plus longtemps.
Ton père appréciait beaucoup l’humour de Raymond Devos.
« Certains disent qu’on aura la vie éternelle or l’éternité n’a ni début ni fin donc, s’il y a une vie éternelle, on y est déjà. »
« Si on t’insulte, réponds : enchanté, moi c’est Brice »
« Ta richesse, que personne ne peut t’enlever, est ta jeunesse. »
« Même dans le désert on reconnaît un officier. »
À Pléhédel, en Bretagne, il m’a dit « la question que chacun doit se poser est de savoir ce qu’il reste à faire avant de mourir ».
« Il faut veiller à ne pas souffrir de son hypersensibilité. »
« Il y aura toujours quelqu’un de plus fort en maths que toi ; ce qui fait la différence est de savoir mener les hommes. »
« Il est important de faire des études, afin de voir que c’est inutile. »
« Dans l’action, il ne faut pas réfléchir », sur le modèle du cycliste qui pédale sans analyser tous ses mouvements.
« L’élève doit dépasser le maître. »
« Je suis bien partout parce que je suis ma propre maison. » ou « Je suis bien partout parce que j’emporte ma maison avec moi. » (je ne sais plus la formule exacte mais l’idée est là).
« La vie est une succession de concours. »

- Un jour, il a évoqué l’amour, qui rend « bête » et qui est très puissant, comme quelque chose de positif.

3) Des considérations plus intimes :
- Dans cette interview, il ne s’agit pas de faire le procès d’un absent. J’ai été attristé de constater que ton père pouvait avoir des relations difficiles avec ses enfants. Je pense que les parents sont souvent plus maladroits avec leurs propres enfants qu’avec ceux des autres, probablement en raison de l’affect.
- Un jour que je lui demandais comment allait ta petite soeur : « Elle va bien puisque tu penses à elle. »
- À Pléhédel, un soir, ton petit frère était parti se coucher et souffrait, à cause d'une opération du dos, je crois. Sa mère était auprès de lui. Je discutais au salon avec votre père qui, entendant son fils avait mal et le manifestait, m’a demandé ce que je pensais qu’il était préférable de faire : grosso modo aller le consoler ou le laisser affronter son problème pour qu’il grandisse. Je lui ai dit grosso modo que je pensais que la place d’un père était auprès de son enfant. C’est d’ailleurs ce qu’il devait penser puisqu’il est allé auprès de lui.
Cela peut être relié je pense à une autre situation : il m’avait dit qu’un de ses élèves, alors adolescent je crois, qui avait quelques soucis de santé, s’était mis à pleurer après un combat en compétition, pour une raison a priori psychologique. Sa mère avait voulu aller le consoler, ton père lui a demandé de laisser son fils tranquille. Ce dernier a pu surmonter son trouble et faire face à la suite des événements, « grandi ».

- Nom de mon professeur d’aïkido qui a expérimenté de nombreuses pratiques, dont chamaniques : Dominique Balta (http://aikido-global-balta-paris5.fr/

 

28 avril 2020, 15:22.
" Il me revient subitement une parole de ton père que je ne crois pas t'avoir dite et qui pourrait t'intéresser : quelque chose du genre "la mort est un acte de vie si elle est vécue ainsi".
J'ai toujours pensé que cela concernait le point de vue de celui qui meurt, mais peut-être évoquait-il aussi l'entourage. "

7 juin 2020, 18:05.
" ... Je viens d'avoir un nouveau souvenir me paraissant intéressant et dont je ne t'ai pas parlé je crois: ton père m'a dit une fois qu'il était vain de lutter contre ses défauts et qu'il valait mieux cultiver ses qualités."

- Le roman initiatique japonais d'Eiji Yoshikawa "La Pierre et le Sabre" (cité dans la troisième partie):

7 Juillet 2018.
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Un Grand Merci :)
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